Les cyberviolences dont le cyber-harcèlement — UNETP - Union Nationale de l’Enseignement Privé

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Les cyberviolences dont le cyber-harcèlement

Le Plus Numérique / Les apprenants / Les cyberviolences...

3018, le nouveau numéro contre les violences numériques…

 

"Les cyberviolences dont le cyber-harcèlement est une composante majeure des violences que subissent aujourd’hui les jeunes, car elles interviennent dans un espace où les enfants et les adolescents sont souvent livrés à eux-mêmes. Le 3018 est le pendant numérique du 119 (numéro de l’enfant en danger). Il a vocation à aider, soutenir et accompagner toutes les jeunes victimes de cyber violences. Pour que les jeunes puissent bénéficier pleinement des opportunités qu’offre le numérique, nous devons leur assurer une protection contre toutes les formes de violences qui les menacent, y compris celles exercées en ligne. Les cyberviolences n’ont de "cyber" que le nom. Elles ont des conséquences bien réelles, au-delà de la sphère numérique."

Adrien Taquet,
Secrétaire d’Etat chargé de l’Enfance et des Familles.

 

Selon la CNIL :

"Le cyberharcèlement peut être défini comme une forme de cyberviolence qui se caractérise par la dimension répétée d’un acte agressif intentionnel, perpétré par un individu ou un groupe d’individus au moyen de formes de communication électroniques à l’encontre d’une victime qui ne peut facilement se défendre seule.

Un internaute peut être harcelé pour son appartenance à une religion, sa couleur de peau, ses opinions politiques, son comportement, ses choix de vie… Le harceleur peut revêtir l’aspect d’un « troll » (inconnu, anonyme) mais également faire partie de l’entourage de la victime (simple connaissance, ex-conjoint, camarade de classe, collègue, voisin, famille…)."

"Le fait de « partager » implique votre responsabilité devant la loi."

En cas de cyber-violences, il est essentiel de réagir :

  • 41 % des enfants ont déjà été victimes de cyberviolences, et 7 % de cyberharcèlement.
  • Seuls 10 % des enfants victimes de cyberharcèlement en parlent à leurs parents.

(Source : association E-enfance)

 

Pour en savoir plus :